Wassila Et Salim, Ou LHistoire DUn Cocufiage Voulu Et Accepté. Quatrième Partie: Ma Première Double Pénétration
Wassila et Salim, ou lhistoire dun cocufiage voulu et accepté.
Quatrième partie: Ma première double pénétration
Quelques temps après le départ de Samir nous étions au début de lété Salim loua une petite maison en bord de mer à Cherchell, à une centaine de kilomètres à louest dAlger, pour que nous y passions un mois de vacances en amoureux. Nous avions besoin de ressouder notre couple, un peu perturbé par la présence trop envahissante de Samir. La maison se trouvait à environ une centaine de mètres du bord de leau, à proximité dune plage gardée et bien fréquentée. Nous avons passé les deux premiers jours, pratiquement sans sortir de la maison, si ce nest en fin de journée pour profiter de la mer, après le départ des estivants. Quand nous rentrions, vers les coups de vingt et une heures, nous prenions une bonne douche froide et sortions parfois pour manger à lextérieur dans un petit restaurant qui restait ouvert très tard la nuit.
Cest là que pour la première fois nous avions remarqué que nous étions dans une ville garnison. On voyait souvent des militaires déambuler dans la ville, en tenue de sortie, pour une permission de quelques heures. Cherchell est en effet une ville de militaires: elle était (et est toujours) le siège de lAcadémie Interarmes qui formait les officiers dEtat major de larmée algérienne. La deuxième fois que nous nous rendîmes dans le petit restaurant, pas loin du port, nous avons remarqué un groupe de soldats à une table qui mangeaient et chahutait, comme savent si bien le faire les militaires en goguette. Ils nétaient pas saouls, lalcool étant interdit pour les militaires, mais ils étaient joyeux, probablement heureux de profiter de quelques heures de liberté.
Je navais pas fait très attention au groupe. Je les avais regardés un peu distraitement, mes pensées étant occupées par un autre sujet; je pensais à mon bel éphèbe que javais chassé, et dont déjà, je regrettais labsence.
- Tu as lair de plaire énormément à ces deux gus, fit-il à voix basse, en me montrant le groupe, dun mouvement discret de la tête.
Je vis en effet les deux garçons qui détournaient les yeux au moment où moi je me mis à les observer.
- Ils sont mignons nest-ce pas ? Ils te plaisent ? Je suis sûr quils doivent être en manque de femmes et quils ont les couilles tellement gonflées quelles risquent dexploser. Ça te plairait de les avoir dans notre lit cette nuit ?
- Tu penses quils pourront passer la nuit dehors ? Si je me rappelle ce que me disait mon frère qui avait fait son service ici, ils doivent retourner à lAcadémie, à minuit au plus tard.
- Ce sont des militaires ! Et comme tout bon militaire qui se respecte, ils doivent savoir faire le mur ! Ne ten fait pas pour eux ! Dis-moi seulement que ces deux là te plaisent; comme toi tu as lair de leur plaire.
- Oui ! Ils sont beaux, grands et forts. Ils doivent aussi être bien membrés !
- Alors souris-leur et montre leur quils te plaisent ! La suite, je men occupe ! Cette nuit même, ils vont soccuper de ton superbe cul !
Je passais le reste du repas à lancer des regards discrets, mais insistants, aux deux soldats et à leur sourire. Ils semblaient intéressés, mais aussi gênés par la présence de Salim, qui les intimidait. Ils étaient à mille lieues de penser que cétait mon mari linstigateur du jeu auquel je jouais ave eux et quil avait en tête de moffrir à eux.
- Tes deux lascars vont nous rejoindre dici une demi-heure à la maison. Je leur ai donné ladresse et leur ai expliqué comment sy rendre. Tu es contente ?
- Très !
Nous rentrâmes à la maison et nous nous mîmes à laise. Salim se mit en pantalon de pyjama et tee-shirt et moi en nuisette, comme mon cher mari me lavait ordonné. Nous nattendîmes pas longtemps avant que lon entende le bruit de la sonnette. Salim alla ouvrir et revint en compagnie des deux élèves officiers. Ils paraissaient un peu gênés et hésitants. Cétait comme sils ne croyaient pas à la réalité de la chose: un mari qui semble heureux de leur offrir sa superbe femme. Cétait trop beau pour être vrai ! Ils craignaient que cela soit un piège, dans lequel leur immense envie de baiser les avait fait tomber.
- Chérie, je te présente Cherif et Merouane, deux élèves officiers de lAcadémie. Viens leur dire bonsoir !
- Bonsoir Cherif, fis-je en mapprochant de lui et en déposant un baiser bien mouillé et sonore sur sa joue droite ! Bonjour Merouane, dis-je, en faisant la même chose avec lui ! Venez mes chéris, je vais moccuper de vous !
Les deux jeunes hommes étaient à peu près de la même taille : environ un mètre quatre vingt chacun. Ils avaient la même largeur dépaules, la même puissante musculature dhommes habitués à faire du sport, la même taille fine, les mêmes hanches étroite. Et bien entendu, la même coupe de cheveux à la brosse. Ce qui les rendait différent, cétait dabord leurs teints : très brun pour Cherif, qui était originaire dOran à louest du pays; blanc pour Merouane, qui venait de la capitale.
Je leur pris chacun une main et les entraînai vers le salon. Ils me suivaient sans résistance. Je massis sur le sofa, de la manière la plus impudique et la plus provocatrice qui soit, pour les exciter et voir grossir leurs sexes à travers la toile de leurs pantalons duniformes. La nuisette que je portais ne cachait absolument rien : elle laissait voir ma paire de nichons qui poussait vers lavant sous le fin tissu; et la petite culotte noire se devinait par transparence quand jétais debout et apparaissait entre mes cuisses ouvertes, quand jétais assise. Je vis leurs regards se voiler, leurs bouches souvrir légèrement et leurs langues sortir pour humecter leurs lèvres qui sétaient asséchées.
- Je suis belle ? dis-je à mes deux soldats.
- Oui madame ! répondit Merouane, celui des deux qui semblait le plus entreprenant. Vous êtes belle !
- Vous avez envie de me tirer ? De me baiser comme une chienne ? Qui veut commencer ?
-
(Aucun des deux ne répondit)
- Approchez-vous que je voie à qui jai affaire ! Enlevez-moi ces affreuses tenues ! Je veux vous voir dans la seule tenue qui est digne dun homme : la tenue dAdam ! Déshabillez-vous !
Les deux soldats hésitaient à obéir. Je tirais sur la main de Merouane pour quil vienne plus près de moi. Je me mis à lui palper le devant du pantalon duniforme pour mesurer le volume de son sexe. Il bandait, mais pas trop ! Il était encore craintif et avait peur du piège ! Je me mis à défaire la ceinture du pantalon duniforme, à dégrafer le bouton et à descendre le zip de la braguette.
- Voilà ce que jappelle un zob ! Et toi montre moi le tien !
Chérif était encore très intimidé. Mais quand il vit leffet que faisait sur moi limmense sexe de son ami, il sortit lui-même le sien, qui était encore mou, et me le tendit pour que je le réveille, à linstar de celui de Merouane.
- Réveille-le ! ordonna-t-il dune voix qui nadmettait pas de réplique (cétait déjà une voix dofficier !) Suce-le !
Voilà exactement ce que jattendais ! Un homme qui en avait entre les jambes et qui aimait le faire savoir ! Un homme qui voulait être le maître ! Je décidais que si son engin avait la taille de celui de son ami, ce serait lui qui le premier allait me posséder. Je me mis à genoux devant lui, lui baissai le pantalon sur les chevilles et le laissai ainsi les fesses et le zob à lair libre. Jattrapais son sexe qui commençait à grossir, sous le simple effet de limagination (il simaginait ma bouche qui semparait de son zob et qui se mettait à le sucer) et qui devint encore plus grand que celui de son ami, quand il entra dans ma bouche. Je le pris dans ma main droite et, tout en le masturbant avec vigueur, jentrepris de lui faire une fellation denfer.
Jétais devenue une vraie experte es fellation. Il ne me fallut que quelques secondes de masturbation/fellation pour que Cherif se mette à gémir et à pousser des petits cris. Je fis sortir le sexe de ma bouche pour regarder Merouane qui continuait à bander comme un âne, en me regardant faire une pipe à son ami.
- Approche toi aussi ! Enlève tes habits et viens te mettre devant moi ! Je vais vous sucer à tour de rôle et gare à celui qui éjacule avant que je ne lordonne !
Après avoir enlevé tous ses habits, il vint se placer aux côtés de Chérif, son immense sexe brandi comme une épée. Je passais dun zob à lautre. Jutilisais les deux mains pour branler les deux sexes en même temps et avalait à tour de rôle lengin de Chérif, que je suçais pendant environ une minute, avant de passer à celui de Merouane à qui je faisais la même chose. Ils gémissaient de concert. Mais celui qui avait son sexe dans ma bouche gémissait plus fort. Cétait surtout Chérif, qui réagissait exactement comme moi jaimais. Il me traitait avec brutalité et me parlait comme à une pute ou une chienne.
- Tu aimes les gros zobs, espèce de pute ! Tu aimes sucer ! Tu aimes boire le sperme des vrais hommes comme nous ! Dis-le que tu aimes !
Bien entendu, je ne pouvais pas lui répondre, ma bouche étant occupée à avaler à tour de rôle de superbes zobs, bien durs et palpitants. Mais ce quil disait mexcitait tellement que je sentais ma chatte couler comme une fontaine. Je voulais ces zobs dans tous mes trous en même temps. Si cela avait été possible, jaurais voulu que mes deux hommes me baisent en même temps dans chacun de mes trous. Je voulais les deux en même temps dans ma bouche, les deux en même temps dans ma chatte et les deux en même temps dans mon cul. Je ne voulais pas choisir lequel des deux commencera à me tirer comme une chienne. Je les voulais tous les deux. Jétais entrain de fantasmer sur ces deux immenses zobs dans ma chatte ! Je devenais folle de désir ! Et puis je ne voulais pas quils éjaculent maintenant dans ma bouche. Je voulais quils le fassent dans ma chatte ou dans mon cul ! Pourquoi pas dans les deux en même temps !
- Vous voulez me baiser en même temps ? Lun par devant, lautre par derrière ? Qui veut devant ?
- Moi ! dis Chérif. Moi je naime que les vagins des filles ! Pas leurs culs !
- Moi, jaime prendre les filles par derrière dit Mérouane ! Cest moi qui vais tenculer. Je vais te défoncer ton cul ! Dailleurs cest surtout ton cul qui ma attiré depuis la première fois que je tai vue ! Comment on fait ?
- Allonge-toi sur le sofa ! dis-je à Cherif. Sur le dos ! Comme cela ! Ton sexe dressé vers le ciel !
Une fois quil fût allongé sur le dos, le sexe brandi vers le ciel tel un sabre, jôtais ma culotte et vint me mettre à califourchon sur ses hanches. Je pris son engin dans ma main droite et le positionnai à lentrée de ma chatte gluante. Je massis brusquement sur lui et fis pénétrer le membre complètement à lintérieur de mon vagin. Mon Dieu cette sensation de plaisir intense que je ressentais à mempaler sur un si gros manche ! Il alla jusquau fond de mon tunnel ! Javais limpression davoir été pénétrée plus profondément que je ne lavais jamais été, et que le sexe qui était en moi allait ressortir par ma bouche, tellement il était long ! Je poussai un énorme gémissement de plaisir. Je me mis à monter et descendre lentement mes hanches, de manière à provoquer encore plus dexcitation chez mon partenaire et à maintenir à son plus haut niveau lérection de mon homme.
Il sétait mis lui aussi à gémir et à baver de plaisir. Je soulevai encore une fois mes hanches et les laissai volontairement en position haute, pour amener mon amant à faire lui-même les mouvements de va-et-vient dans mon vagin. Je présentais ainsi mon cul ouvert à Merouane et en tournant la tête vers lui, lui dit :
- Quest-ce que tu attends pour menculer ? Allez montre-moi la force de ton zob. Mets-y un peu de salive et enfonce-le! Enfonce-le en force ! Fais-moi mal !
En moins de temps que je naie mis à lui ordonner de menculer, il était déjà en moi entrain de pilonner mon cul, en poussant des petits cris de plaisir sadiques. Il savait quil me faisait mal et aimait cette pensée. Cela lincitait à me tirer de plus en plus brutalement, de plus en plus énergiquement. Moi jétais au paradis des amants : ma chatte recevait un superbe sexe qui entrait en elle et en ressortait, avec force et douceur ; et mon cul était plein dun autre zob, qui allait et venait en lui, avec brutalité et violence. Ils se croisaient à travers les fines membranes de mon vagin et de mon rectum et, en se croisant, ils memmenaient au septième ciel. Cétait tellement bon ! La sensation que me procurait cette double pénétration était tellement forte que je me sentais défaillir ! Javais limpression que jallais mévanouir, tellement lexcitation était forte; et tellement mes deux trous me communiquaient de plaisir intense.
Jétais ailleurs; dans un autre monde. Le monde de lérotisme et du plaisir ! Un monde de bonheur extrême. Je regardais lhomme qui était sous moi, et qui gémissait chaque fois que ses hanches remontaient pour pilonner la chatte qui lattendait, à une dizaine de centimètre au dessus de son sexe et à chaque fois quil croisait et frottait le manche de son ami, qui allait et venait dans mon cul. Il gémissait, avait les yeux qui brillaient de désir et de plaisir et souriait de toutes ses dents. Je le sentais au bord de lorgasme. A voir ses lèvres qui sétiraient jusquà devenir blanches; à voir la salive qui sortait de sa bouche, sans quil puisse la retenir; à voir son regard se voiler; je sus quil allait éclater en moi dans quelques secondes. Je tournais la tête pour essayer dapercevoir Merouane qui pilonnait sans ménagement mon cul; je ne vis que lexpression de son visage, mais cela me suffit pour comprendre que lui aussi était sur le point déjaculer.
- Plus vite ! Plus fort ! Plus fort ! Je veux jouir en même temps que vous deux ! Tirez-moi plus fort ! Faites-moi hurler de plaisir ! Faites-moi jouir ! Remplissez-moi de sperme ! Je vais jouir ! Je jouiiiiis !
Et en même temps que jentendis, lun après lautre, Merouane et Cherif pousser un formidable râle de jouissance, moi-même, je me mis à hurler que je jouissais et je déchargeais une tonne de jus, mélangé au sperme quil avait éjaculé, sur le bas ventre de Chérif. Nous continuâmes encore quelques temps, puis fourbus, nous nous affalâmes les uns sur les autres. Je me retrouvais allongée sur le ventre et la poitrine de Cherif et Merouane, allongé sur mon dos. Ils avaient gardé leurs sexes, encore en érection dans mes trous. Je fis sortir , en gigotant des hanches, le zob de Merouane de mon cul et le fis descendre de mon dos. Je restais allongée sur Cherif, qui avait gardé son manche dans ma chatte, bien décidée à rependre la séance.
- Cette fois-ci, cest moi qui vais te baiser ! dis-je à lhomme qui était sous moi. Je vais te faire monter au ciel une autre fois et bien sûr je vais ty accompagner !
- Et pendant ce temps, moi je vais moccuper du cul de son ami ! dit une voix juste derrière moi.
Cétait Salim qui intervenait, après avoir assisté à toute la scène, qui lavait fait bander comme un bouc. Il ny tenait plus et voulait lui aussi prendre sa part de plaisir. Et sa part, cétait le cul de Merouane, quil avait maté durant tout le temps quil menculait. Je ne savais pas comment Merouane allait prendre la chose, mais je faisais confiance au bon sens de mon mari pour le convaincre.
- Ça ne va pas ! sécria le soldat. Je ne suis pas homo ! Et surtout je ne suis pas passif !
- Si tu es homo ! Jai bien maté ton cul; il est bien ouvert et a déjà accueilli des gros zobs ! Il est aussi ouvert que celui de la femme que tu viens denculer. Alors ne fait pas ton chichi et laisse-moi te donner du plaisir. Je suis même sûr que Chérif est ton amant et que cest lui ton homme ! Cest pas vrai, Cherif ?
- Si cest vrai ! Encule-le, pendant que ta femme soccupe de me baiser !
Je me désintéressais de ce qui allait se passer entre Salim et Merouane, pour ne moccuper que de baiser Cherif, qui était sous moi. Javais toujours son merveilleux zob à lintérieur du vagin; et il était toujours en érection. Je mappuyais sur ses muscles abdominaux et me mis à faire faire à mes hanches des petits mouvements verticaux destinés surtout à bien faire bander mon homme. Jajoutais un léger mouvement tournant de mes hanches pour accen la sensation de frottement du sexe dans mon tunnel. Je regardais Chérif qui avait ouvert les yeux et me regardait faire en souriant. Il prenait du plaisir et me le montrait en poussant de tous petits cris, à chaque montée et descente de mes hanches.
Je manuvrais doucement en faisant monter le plaisir que nous prenions. Je faisais monter très haut mes hanches pour avoir le gland de limmense gourdin de Cherif juste à lentrée de ma chatte et les faisait redescendre brusquement pour mempaler profondément sur le merveilleux gourdin dressé sous moi, et ressentir intensément la force du monstre qui me possédait. Cétait délicieux : il me faisait mal et en même temps cétait tellement bon ! Je pouvais ainsi réduire et accroitre lintensité de mon plaisir, en dosant la hauteur de la pénétration et sa force. Je ne moccupais absolument pas de mon partenaire. Jétais dans mon seul plaisir, dont je voulais augmenter lintensité en accélérant le rythme. De temps en temps, je me sentais obligée de ralentir le rythme parce que je sentais les gémissements de mon amant saccélérer, annonçant une jouissance toute proche. Or, je ne voulais absolument pas quil jouisse tout de suite. Je voulais que cela dure longtemps, très longtemps. Je ne voulais que mon amant résiste jusquà ce que moi je décide de me laisser aller à lorgasme.
Cétait moi la maîtresse ! Je le tenais à ma merci ! Je pouvais le faire jouir quand je le voulais et cela mexcitais encore plus ! Je criais des insanités et bavait comme une fontaine sur la poitrine de mon partenaire.
- Cest moi qui te baise ! Tu aimes que je te baise ! Dis-moi que tu aimes que je te baise ! Je tordonne de dire que cest moi qui te baise !
Cherif ne répondait pas. Il était occupé à prendre du plaisir. Il regardait mon visage qui grimaçait sous leffet du plaisir. Il voyait mes yeux qui brillaient comme des lanternes. Il contemplait ma bave qui dégoulinait dentre mes lèvres ! Je devais avoir une attitude de démente ! Je narrivais même plus à empêcher ma tête à se balancer, de bas en haut, comme si aucun muscle ne pouvait plus la retenir. Jentendais les clapotis que faisait le sexe de Cherif à lintérieur de mon vagin, inondé de mouille. Ce bruit indécent, ajoutait à lintensité de mon plaisir. De temps en temps, je regardais sous moi, le magnifique zob entrer et sortir. Jétais aux anges ! Jétais au paradis ! Je narrivais même plus à penser et réfléchir ! Jétais dans un océan de plaisir ! Jaurais voulu que cela ne sarrêtât jamais ! Mais Cherif ne pouvait plus se retenir et moi-même jétais au bord de lapoplexie.
Jaccélérais le rythme du soulèvement de mes hanches sur le gourdin de mon amant et déchargeai subitement une tonne de cyprine qui sécoulait de mon vagin pour se répandre sur les couilles et le pubis de Cherif. Elle se mélangea rapidement au sperme brûlant que mon partenaire venait déjaculer. Jétais dans une béatitude totale et, fourbue, je maffalais sur la poitrine velue de mon amant. Javais la respiration saccadée et mis un certain temps à me calmer. Quand je relevai la tête pour regarder mon amant, je vis quil avait fermé les yeux et quil était encore plus fourbu que moi. Mais il avait le sourire heureux dun homme qui venait de passer un temps au Paradis ! Je me levais de dessus Chérif pour massoir sur le sofa et regarder du côté de Salim et de Merouane. Je les avais oubliés pendant tout le temps que je baisais Cherif.
Ils étaient toujours par terre, Merouane à quatre pattes et Salim sur son dos. Le sexe de Salim était toujours planté dans lanus de son partenaire. Il était entrain de lui embrasser le dos, tout en lui caressant les pectoraux. Le connaissant, jétais certaine quil bandait encore, et quil cherchait à réveiller le désir de son partenaire. Je nentendais pas ce quil lui susurrait à loreille, mais je vis très vite le résultat. Merouane tourna la tête vers son amant et lui envoya un superbe sourire, qui ne pouvait signifier autre chose que « vas-y, tire-moi encore ! ». Salim ne se fit pas prier pour se mettre à pilonner le cul de son partenaire en ahanant comme un bûcheron. Je voyais ses yeux qui brillaient de plaisir et sa bouche souvrir comme si elle voulait avaler tout son partenaire. Un moment je le vis même qui mordillait les épaules de sa « femme », qui, « elle », poussait des petits cris de plaisir.
Salim me regarda et me fit signe de mapprocher. Quand je fis près de lui, il me montra le sexe de son partenaire qui bandait sous les coups de boutoir de Salim. Il voulait que je men occupe pour le faire jouir en le branlant. Les désirs de mon maître étant des ordres, je me mis à côté de Merouane, lui pris le sexe dans ma main droite et me mis à le masturber en mouillant de temps en temps ma main avec de la salive, pour mieux faire glisser le monstrueux membre que je branlais énergiquement. Je le regardais. Il était aux anges ! Avec son cul rempli par le gros zob de Salim et son zob à lui qui était branlé par la femme de son amant, il ne savait plus ce qui était meilleur. Je le vis qui respirait de plus en plus vite et de plus en plus difficilement. Salim et moi comprîmes quil nallait pas tarder à jouir et éjaculer.
Je forçais le rythme de la masturbation et Salim celui de son pilonnage du cul de Merouane. Au bout de quelques secondes, je sentis le sexe de Merouane battre plus fort et envoyer une grosse rasade de sperme sur ma main et sur le carrelage. Salim lui éjacula dans le cul de son partenaire en poussant ses petits cris de plaisir que jaimais tant entendre. Nétaient ces petits cris, il jouissait presque toujours en silence. Il sortit du cul de son ami et vint devant moi, pour que je nettoie son sexe avec ma bouche. Ce que je fis volontiers en le forçant à bander encore une fois. Mais en refusant de le laisser me monter, devant mes deux nouveaux amants.
- Tu me baiseras, quand nous serons seuls. Pour linstant il faut nous occuper de nos amis.
- Comment ?
- En laissant Chérif enculer Merouane devant nous ! Jai envie de voir cela ! Dis leurs de le faire !
Lidée plut beaucoup à mon époux qui ordonna à Merouane à rester à quatre pattes et à Cherif de venir lui défoncer le cul une autre fois. Cherif qui était encore fatigué se fit longtemps prier, avant daccepter la demande de Salim. Merouane par contre piaffait dimpatienc ; il avait encore envie. Quand Cherif se décida, il avait le zob encore tout ramolli.
- Fais-le rebander ! mordonna Salim.
Je me mis à genoux devant Cherif, lui pris son sexe dans la main et me mis à le titiller et à le lécher, jusquà ce quil se mette à grossir dans ma main. Quand je le vis atteindre une certaine taille, je lintroduisis dans ma bouche et me mis à le sucer. Quelques secondes suffirent pour lui faire atteindre sa taille normale dérection.
Il sortit de lui-même de ma bouche et alla soccuper du cul de son ami qui piaffait toujours dimpatience. Il le fourra violemment dans le rectum et je le vis qui sagrippait aux hanches de son ami et qui le tirait comme une brute. Cétait Merouane qui appréciait le plus. Il gémissait et bavait. Il disait de choses que seul son amant semblaient comprendre et qui avaient le don dintensifier les coups de boutoir de Cherif. Ils ne tardèrent pas à jouir tous les deux ensemble. Ils saffalèrent sur le carrelage et restèrent comme cela, enlacés lun à lautre pendant très longtemps. Salim et moi en fîmes de même, mais sur le sofa !
Notre histoire avec nos deux beaux militaires dura le temps de nos vacances. Ils faisaient le mur deux fois par semaine et venaient directement nous rejoindre à la villa. Ils me faisaient dabord lamour ensemble, parce que javais vraiment pris goût à la double pénétration. Puis nous faisions tout ce que, sur le moment, nous avions envie de faire. Et Cherif, finissait toujours par enculer son ami en dernier, parce que disait-il :
- A la caserne, il nous est difficile de faire lamour, sans nous faire attr !
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