Wassila Et Salim, Ou L’Histoire D’Un Cocufiage Voulu Et Accepté. Quatrième Partie: Ma Première Double Pénétration

Wassila et Salim, ou l’histoire d’un cocufiage voulu et accepté.

Quatrième partie: Ma première double pénétration

Quelques temps après le départ de Samir – nous étions au début de l’été – Salim loua une petite maison en bord de mer à Cherchell, à une centaine de kilomètres à l’ouest d’Alger, pour que nous y passions un mois de vacances en amoureux. Nous avions besoin de ressouder notre couple, un peu perturbé par la présence trop envahissante de Samir. La maison se trouvait à environ une centaine de mètres du bord de l’eau, à proximité d’une plage gardée et bien fréquentée. Nous avons passé les deux premiers jours, pratiquement sans sortir de la maison, si ce n’est en fin de journée pour profiter de la mer, après le départ des estivants. Quand nous rentrions, vers les coups de vingt et une heures, nous prenions une bonne douche froide et sortions parfois pour manger à l’extérieur dans un petit restaurant qui restait ouvert très tard la nuit.
C’est là que pour la première fois nous avions remarqué que nous étions dans une ville garnison. On voyait souvent des militaires déambuler dans la ville, en tenue de sortie, pour une permission de quelques heures. Cherchell est en effet une ville de militaires: elle était (et est toujours) le siège de l’Académie Interarmes qui formait les officiers d’Etat major de l’armée algérienne. La deuxième fois que nous nous rendîmes dans le petit restaurant, pas loin du port, nous avons remarqué un groupe de soldats à une table qui mangeaient et chahutait, comme savent si bien le faire les militaires en goguette. Ils n’étaient pas saouls, l’alcool étant interdit pour les militaires, mais ils étaient joyeux, probablement heureux de profiter de quelques heures de liberté.
Je n’avais pas fait très attention au groupe. Je les avais regardés un peu distraitement, mes pensées étant occupées par un autre sujet; je pensais à mon bel éphèbe que j’avais chassé, et dont déjà, je regrettais l’absence.

Salim par contre semblait très intéressé par ce qui se passait au niveau de l’autre table. Il souriait aux blagues, souvent salées, que les soldats se racontaient entre eux et qui les faisaient rire à gorges déployées. Ils ne semblaient prêter aucune attention au couple qui était entrain de manger à côté. Sauf que Salim, très observateur, avait remarqué que deux membres du groupe – des élèves officiers qui devaient avoir vingt deux ou vingt trois ans – s’intéressaient à moi. Ils me regardaient, certes très discrètement, mais avec insistance.
- Tu as l’air de plaire énormément à ces deux gus, fit-il à voix basse, en me montrant le groupe, d’un mouvement discret de la tête.
Je vis en effet les deux garçons qui détournaient les yeux au moment où moi je me mis à les observer.
- Ils sont mignons n’est-ce pas ? Ils te plaisent ? Je suis sûr qu’ils doivent être en manque de femmes et qu’ils ont les couilles tellement gonflées qu’elles risquent d’exploser. Ça te plairait de les avoir dans notre lit cette nuit ?
- Tu penses qu’ils pourront passer la nuit dehors ? Si je me rappelle ce que me disait mon frère qui avait fait son service ici, ils doivent retourner à l’Académie, à minuit au plus tard.
- Ce sont des militaires ! Et comme tout bon militaire qui se respecte, ils doivent savoir faire le mur ! Ne t’en fait pas pour eux ! Dis-moi seulement que ces deux là te plaisent; comme toi tu as l’air de leur plaire.
- Oui ! Ils sont beaux, grands et forts. Ils doivent aussi être bien membrés !
- Alors souris-leur et montre leur qu’ils te plaisent ! La suite, je m’en occupe ! Cette nuit même, ils vont s’occuper de ton superbe cul !
Je passais le reste du repas à lancer des regards discrets, mais insistants, aux deux soldats et à leur sourire. Ils semblaient intéressés, mais aussi gênés par la présence de Salim, qui les intimidait. Ils étaient à mille lieues de penser que c’était mon mari l’instigateur du jeu auquel je jouais ave eux et qu’il avait en tête de m’offrir à eux.
Nous continuâmes à jouer à ce jeu silencieux pendant toute la durée du repas. Je quittais le restaurant environ une heure après, pour rejoindre la voiture, en laissant derrière moi Salim. Il était resté en arrière, pour disait-il, régler l’addition. Il me rejoignit dix minutes plus tard, un sourire triomphateur aux lèvres. Je connaissais trop ce sourire. Il annonçait une importante victoire.
- Tes deux lascars vont nous rejoindre d’ici une demi-heure à la maison. Je leur ai donné l’adresse et leur ai expliqué comment s’y rendre. Tu es contente ?
- Très !
Nous rentrâmes à la maison et nous nous mîmes à l’aise. Salim se mit en pantalon de pyjama et tee-shirt et moi en nuisette, comme mon cher mari me l’avait ordonné. Nous n’attendîmes pas longtemps avant que l’on entende le bruit de la sonnette. Salim alla ouvrir et revint en compagnie des deux élèves officiers. Ils paraissaient un peu gênés et hésitants. C’était comme s’ils ne croyaient pas à la réalité de la chose: un mari qui semble heureux de leur offrir sa superbe femme. C’était trop beau pour être vrai ! Ils craignaient que cela soit un piège, dans lequel leur immense envie de baiser les avait fait tomber.
- Chérie, je te présente Cherif et Merouane, deux élèves officiers de l’Académie. Viens leur dire bonsoir !
- Bonsoir Cherif, fis-je en m’approchant de lui et en déposant un baiser bien mouillé et sonore sur sa joue droite ! Bonjour Merouane, dis-je, en faisant la même chose avec lui ! Venez mes chéris, je vais m’occuper de vous !
Les deux jeunes hommes étaient à peu près de la même taille : environ un mètre quatre vingt chacun. Ils avaient la même largeur d’épaules, la même puissante musculature d’hommes habitués à faire du sport, la même taille fine, les mêmes hanches étroite. Et bien entendu, la même coupe de cheveux à la brosse. Ce qui les rendait différent, c’était d’abord leurs teints : très brun pour Cherif, qui était originaire d’Oran à l’ouest du pays; blanc pour Merouane, qui venait de la capitale.
Ils différaient aussi par le couleur de leurs yeux : très noirs et brillants pour Chérif ; noisette pour Merouane. Tous les deux étaient vraiment beaux et surtout me paraissaient être des mâles très virils. J’avais une petite préférence pour le beau brun, qui me faisait penser aux noirs africains et à leurs fabuleux sexes sur lesquels je fantasmais souvent (J’avais d’ailleurs avoué à Salim, que si jamais, il tombait sur un bel africain, j’étais prête à l’essayer).
Je leur pris chacun une main et les entraînai vers le salon. Ils me suivaient sans résistance. Je m’assis sur le sofa, de la manière la plus impudique et la plus provocatrice qui soit, pour les exciter et voir grossir leurs sexes à travers la toile de leurs pantalons d’uniformes. La nuisette que je portais ne cachait absolument rien : elle laissait voir ma paire de nichons qui poussait vers l’avant sous le fin tissu; et la petite culotte noire se devinait par transparence quand j’étais debout et apparaissait entre mes cuisses ouvertes, quand j’étais assise. Je vis leurs regards se voiler, leurs bouches s’ouvrir légèrement et leurs langues sortir pour humecter leurs lèvres qui s’étaient asséchées.
- Je suis belle ? dis-je à mes deux soldats.
- Oui madame ! répondit Merouane, celui des deux qui semblait le plus entreprenant. Vous êtes belle !
- Vous avez envie de me tirer ? De me baiser comme une chienne ? Qui veut commencer ?
- … (Aucun des deux ne répondit)
- Approchez-vous que je voie à qui j’ai affaire ! Enlevez-moi ces affreuses tenues ! Je veux vous voir dans la seule tenue qui est digne d’un homme : la tenue d’Adam ! Déshabillez-vous !
Les deux soldats hésitaient à obéir. Je tirais sur la main de Merouane pour qu’il vienne plus près de moi. Je me mis à lui palper le devant du pantalon d’uniforme pour mesurer le volume de son sexe. Il bandait, mais pas trop ! Il était encore craintif et avait peur du piège ! Je me mis à défaire la ceinture du pantalon d’uniforme, à dégrafer le bouton et à descendre le zip de la braguette.
J’introduisis la main à l’intérieur du pantalon et du slip pour prendre possession du membre, encore mou, qui se cachait à l’intérieur. Je le palpai un peu, puis me mis à le caresser avec beaucoup plus de douceur. Je le sentis immédiatement palpiter et se mettre à enfler. Il enflait, enflait, enflait…il n’arrêta de grandir que quand il atteignit une taille monumentale et qu’il eut la dureté du roc.
- Voilà ce que j’appelle un zob ! Et toi montre moi le tien !
Chérif était encore très intimidé. Mais quand il vit l’effet que faisait sur moi l’immense sexe de son ami, il sortit lui-même le sien, qui était encore mou, et me le tendit pour que je le réveille, à l’instar de celui de Merouane.
- Réveille-le ! ordonna-t-il d’une voix qui n’admettait pas de réplique (c’était déjà une voix d’officier !) Suce-le !
Voilà exactement ce que j’attendais ! Un homme qui en avait entre les jambes et qui aimait le faire savoir ! Un homme qui voulait être le maître ! Je décidais que si son engin avait la taille de celui de son ami, ce serait lui qui le premier allait me posséder. Je me mis à genoux devant lui, lui baissai le pantalon sur les chevilles et le laissai ainsi les fesses et le zob à l’air libre. J’attrapais son sexe qui commençait à grossir, sous le simple effet de l’imagination (il s’imaginait ma bouche qui s’emparait de son zob et qui se mettait à le sucer) et qui devint encore plus grand que celui de son ami, quand il entra dans ma bouche. Je le pris dans ma main droite et, tout en le masturbant avec vigueur, j’entrepris de lui faire une fellation d’enfer.
J’étais devenue une vraie experte es fellation. Il ne me fallut que quelques secondes de masturbation/fellation pour que Cherif se mette à gémir et à pousser des petits cris. Je fis sortir le sexe de ma bouche pour regarder Merouane qui continuait à bander comme un âne, en me regardant faire une pipe à son ami.
- Approche toi aussi ! Enlève tes habits et viens te mettre devant moi ! Je vais vous sucer à tour de rôle et gare à celui qui éjacule avant que je ne l’ordonne !
Après avoir enlevé tous ses habits, il vint se placer aux côtés de Chérif, son immense sexe brandi comme une épée. Je passais d’un zob à l’autre. J’utilisais les deux mains pour branler les deux sexes en même temps et avalait à tour de rôle l’engin de Chérif, que je suçais pendant environ une minute, avant de passer à celui de Merouane à qui je faisais la même chose. Ils gémissaient de concert. Mais celui qui avait son sexe dans ma bouche gémissait plus fort. C’était surtout Chérif, qui réagissait exactement comme moi j’aimais. Il me traitait avec brutalité et me parlait comme à une pute ou une chienne.
- Tu aimes les gros zobs, espèce de pute ! Tu aimes sucer ! Tu aimes boire le sperme des vrais hommes comme nous ! Dis-le que tu aimes !
Bien entendu, je ne pouvais pas lui répondre, ma bouche étant occupée à avaler à tour de rôle de superbes zobs, bien durs et palpitants. Mais ce qu’il disait m’excitait tellement que je sentais ma chatte couler comme une fontaine. Je voulais ces zobs dans tous mes trous en même temps. Si cela avait été possible, j’aurais voulu que mes deux hommes me baisent en même temps dans chacun de mes trous. Je voulais les deux en même temps dans ma bouche, les deux en même temps dans ma chatte et les deux en même temps dans mon cul. Je ne voulais pas choisir lequel des deux commencera à me tirer comme une chienne. Je les voulais tous les deux. J’étais entrain de fantasmer sur ces deux immenses zobs dans ma chatte ! Je devenais folle de désir ! Et puis je ne voulais pas qu’ils éjaculent maintenant dans ma bouche. Je voulais qu’ils le fassent dans ma chatte ou dans mon cul ! Pourquoi pas dans les deux en même temps !
- Vous voulez me baiser en même temps ? L’un par devant, l’autre par derrière ? Qui veut devant ?
- Moi ! dis Chérif. Moi je n’aime que les vagins des filles ! Pas leurs culs !
- Moi, j’aime prendre les filles par derrière dit Mérouane ! C’est moi qui vais t’enculer. Je vais te défoncer ton cul ! D’ailleurs c’est surtout ton cul qui m’a attiré depuis la première fois que je t’ai vue ! Comment on fait ?
- Allonge-toi sur le sofa ! dis-je à Cherif. Sur le dos ! Comme cela ! Ton sexe dressé vers le ciel !
Une fois qu’il fût allongé sur le dos, le sexe brandi vers le ciel tel un sabre, j’ôtais ma culotte et vint me mettre à califourchon sur ses hanches. Je pris son engin dans ma main droite et le positionnai à l’entrée de ma chatte gluante. Je m’assis brusquement sur lui et fis pénétrer le membre complètement à l’intérieur de mon vagin. Mon Dieu cette sensation de plaisir intense que je ressentais à m’empaler sur un si gros manche ! Il alla jusqu’au fond de mon tunnel ! J’avais l’impression d’avoir été pénétrée plus profondément que je ne l’avais jamais été, et que le sexe qui était en moi allait ressortir par ma bouche, tellement il était long ! Je poussai un énorme gémissement de plaisir. Je me mis à monter et descendre lentement mes hanches, de manière à provoquer encore plus d’excitation chez mon partenaire et à maintenir à son plus haut niveau l’érection de mon homme.
Il s’était mis lui aussi à gémir et à baver de plaisir. Je soulevai encore une fois mes hanches et les laissai volontairement en position haute, pour amener mon amant à faire lui-même les mouvements de va-et-vient dans mon vagin. Je présentais ainsi mon cul ouvert à Merouane et en tournant la tête vers lui, lui dit :
- Qu’est-ce que tu attends pour m’enculer ? Allez montre-moi la force de ton zob. Mets-y un peu de salive et enfonce-le! Enfonce-le en force ! Fais-moi mal !
En moins de temps que je n’aie mis à lui ordonner de m’enculer, il était déjà en moi entrain de pilonner mon cul, en poussant des petits cris de plaisir sadiques. Il savait qu’il me faisait mal et aimait cette pensée. Cela l’incitait à me tirer de plus en plus brutalement, de plus en plus énergiquement. Moi j’étais au paradis des amants : ma chatte recevait un superbe sexe qui entrait en elle et en ressortait, avec force et douceur ; et mon cul était plein d’un autre zob, qui allait et venait en lui, avec brutalité et violence. Ils se croisaient à travers les fines membranes de mon vagin et de mon rectum et, en se croisant, ils m’emmenaient au septième ciel. C’était tellement bon ! La sensation que me procurait cette double pénétration était tellement forte que je me sentais défaillir ! J’avais l’impression que j’allais m’évanouir, tellement l’excitation était forte; et tellement mes deux trous me communiquaient de plaisir intense.
J’étais ailleurs; dans un autre monde. Le monde de l’érotisme et du plaisir ! Un monde de bonheur extrême. Je regardais l’homme qui était sous moi, et qui gémissait chaque fois que ses hanches remontaient pour pilonner la chatte qui l’attendait, à une dizaine de centimètre au dessus de son sexe et à chaque fois qu’il croisait et frottait le manche de son ami, qui allait et venait dans mon cul. Il gémissait, avait les yeux qui brillaient de désir et de plaisir et souriait de toutes ses dents. Je le sentais au bord de l’orgasme. A voir ses lèvres qui s’étiraient jusqu’à devenir blanches; à voir la salive qui sortait de sa bouche, sans qu’il puisse la retenir; à voir son regard se voiler; je sus qu’il allait éclater en moi dans quelques secondes. Je tournais la tête pour essayer d’apercevoir Merouane qui pilonnait sans ménagement mon cul; je ne vis que l’expression de son visage, mais cela me suffit pour comprendre que lui aussi était sur le point d’éjaculer.
- Plus vite ! Plus fort ! Plus fort ! Je veux jouir en même temps que vous deux ! Tirez-moi plus fort ! Faites-moi hurler de plaisir ! Faites-moi jouir ! Remplissez-moi de sperme ! Je vais jouir ! Je jouiiiiis !
Et en même temps que j’entendis, l’un après l’autre, Merouane et Cherif pousser un formidable râle de jouissance, moi-même, je me mis à hurler que je jouissais et je déchargeais une tonne de jus, mélangé au sperme qu’il avait éjaculé, sur le bas ventre de Chérif. Nous continuâmes encore quelques temps, puis fourbus, nous nous affalâmes les uns sur les autres. Je me retrouvais allongée sur le ventre et la poitrine de Cherif et Merouane, allongé sur mon dos. Ils avaient gardé leurs sexes, encore en érection dans mes trous. Je fis sortir , en gigotant des hanches, le zob de Merouane de mon cul et le fis descendre de mon dos. Je restais allongée sur Cherif, qui avait gardé son manche dans ma chatte, bien décidée à rependre la séance.
- Cette fois-ci, c’est moi qui vais te baiser ! dis-je à l’homme qui était sous moi. Je vais te faire monter au ciel une autre fois et bien sûr je vais t’y accompagner !
- Et pendant ce temps, moi je vais m’occuper du cul de son ami ! dit une voix juste derrière moi.
C’était Salim qui intervenait, après avoir assisté à toute la scène, qui l’avait fait bander comme un bouc. Il n’y tenait plus et voulait lui aussi prendre sa part de plaisir. Et sa part, c’était le cul de Merouane, qu’il avait maté durant tout le temps qu’il m’enculait. Je ne savais pas comment Merouane allait prendre la chose, mais je faisais confiance au bon sens de mon mari pour le convaincre.
- Ça ne va pas ! s’écria le soldat. Je ne suis pas homo ! Et surtout je ne suis pas passif !
- Si tu es homo ! J’ai bien maté ton cul; il est bien ouvert et a déjà accueilli des gros zobs ! Il est aussi ouvert que celui de la femme que tu viens d’enculer. Alors ne fait pas ton chichi et laisse-moi te donner du plaisir. Je suis même sûr que Chérif est ton amant et que c’est lui ton homme ! C’est pas vrai, Cherif ?
- Si c’est vrai ! Encule-le, pendant que ta femme s’occupe de me baiser !
Je me désintéressais de ce qui allait se passer entre Salim et Merouane, pour ne m’occuper que de baiser Cherif, qui était sous moi. J’avais toujours son merveilleux zob à l’intérieur du vagin; et il était toujours en érection. Je m’appuyais sur ses muscles abdominaux et me mis à faire faire à mes hanches des petits mouvements verticaux destinés surtout à bien faire bander mon homme. J’ajoutais un léger mouvement tournant de mes hanches pour accen la sensation de frottement du sexe dans mon tunnel. Je regardais Chérif qui avait ouvert les yeux et me regardait faire en souriant. Il prenait du plaisir et me le montrait en poussant de tous petits cris, à chaque montée et descente de mes hanches.
Je manœuvrais doucement en faisant monter le plaisir que nous prenions. Je faisais monter très haut mes hanches pour avoir le gland de l’immense gourdin de Cherif juste à l’entrée de ma chatte et les faisait redescendre brusquement pour m’empaler profondément sur le merveilleux gourdin dressé sous moi, et ressentir intensément la force du monstre qui me possédait. C’était délicieux : il me faisait mal et en même temps c’était tellement bon ! Je pouvais ainsi réduire et accroitre l’intensité de mon plaisir, en dosant la hauteur de la pénétration et sa force. Je ne m’occupais absolument pas de mon partenaire. J’étais dans mon seul plaisir, dont je voulais augmenter l’intensité en accélérant le rythme. De temps en temps, je me sentais obligée de ralentir le rythme parce que je sentais les gémissements de mon amant s’accélérer, annonçant une jouissance toute proche. Or, je ne voulais absolument pas qu’il jouisse tout de suite. Je voulais que cela dure longtemps, très longtemps. Je ne voulais que mon amant résiste jusqu’à ce que moi je décide de me laisser aller à l’orgasme.
C’était moi la maîtresse ! Je le tenais à ma merci ! Je pouvais le faire jouir quand je le voulais et cela m’excitais encore plus ! Je criais des insanités et bavait comme une fontaine sur la poitrine de mon partenaire.
- C’est moi qui te baise ! Tu aimes que je te baise ! Dis-moi que tu aimes que je te baise ! Je t’ordonne de dire que c’est moi qui te baise !
Cherif ne répondait pas. Il était occupé à prendre du plaisir. Il regardait mon visage qui grimaçait sous l’effet du plaisir. Il voyait mes yeux qui brillaient comme des lanternes. Il contemplait ma bave qui dégoulinait d’entre mes lèvres ! Je devais avoir une attitude de démente ! Je n’arrivais même plus à empêcher ma tête à se balancer, de bas en haut, comme si aucun muscle ne pouvait plus la retenir. J’entendais les clapotis que faisait le sexe de Cherif à l’intérieur de mon vagin, inondé de mouille. Ce bruit indécent, ajoutait à l’intensité de mon plaisir. De temps en temps, je regardais sous moi, le magnifique zob entrer et sortir. J’étais aux anges ! J’étais au paradis ! Je n’arrivais même plus à penser et réfléchir ! J’étais dans un océan de plaisir ! J’aurais voulu que cela ne s’arrêtât jamais ! Mais Cherif ne pouvait plus se retenir et moi-même j’étais au bord de l’apoplexie.
J’accélérais le rythme du soulèvement de mes hanches sur le gourdin de mon amant et déchargeai subitement une tonne de cyprine qui s’écoulait de mon vagin pour se répandre sur les couilles et le pubis de Cherif. Elle se mélangea rapidement au sperme brûlant que mon partenaire venait d’éjaculer. J’étais dans une béatitude totale et, fourbue, je m’affalais sur la poitrine velue de mon amant. J’avais la respiration saccadée et mis un certain temps à me calmer. Quand je relevai la tête pour regarder mon amant, je vis qu’il avait fermé les yeux et qu’il était encore plus fourbu que moi. Mais il avait le sourire heureux d’un homme qui venait de passer un temps au Paradis ! Je me levais de dessus Chérif pour m’assoir sur le sofa et regarder du côté de Salim et de Merouane. Je les avais oubliés pendant tout le temps que je baisais Cherif.
Ils étaient toujours par terre, Merouane à quatre pattes et Salim sur son dos. Le sexe de Salim était toujours planté dans l’anus de son partenaire. Il était entrain de lui embrasser le dos, tout en lui caressant les pectoraux. Le connaissant, j’étais certaine qu’il bandait encore, et qu’il cherchait à réveiller le désir de son partenaire. Je n’entendais pas ce qu’il lui susurrait à l’oreille, mais je vis très vite le résultat. Merouane tourna la tête vers son amant et lui envoya un superbe sourire, qui ne pouvait signifier autre chose que « vas-y, tire-moi encore ! ». Salim ne se fit pas prier pour se mettre à pilonner le cul de son partenaire en ahanant comme un bûcheron. Je voyais ses yeux qui brillaient de plaisir et sa bouche s’ouvrir comme si elle voulait avaler tout son partenaire. Un moment je le vis même qui mordillait les épaules de sa « femme », qui, « elle », poussait des petits cris de plaisir.
Salim me regarda et me fit signe de m’approcher. Quand je fis près de lui, il me montra le sexe de son partenaire qui bandait sous les coups de boutoir de Salim. Il voulait que je m’en occupe pour le faire jouir en le branlant. Les désirs de mon maître étant des ordres, je me mis à côté de Merouane, lui pris le sexe dans ma main droite et me mis à le masturber en mouillant de temps en temps ma main avec de la salive, pour mieux faire glisser le monstrueux membre que je branlais énergiquement. Je le regardais. Il était aux anges ! Avec son cul rempli par le gros zob de Salim et son zob à lui qui était branlé par la femme de son amant, il ne savait plus ce qui était meilleur. Je le vis qui respirait de plus en plus vite et de plus en plus difficilement. Salim et moi comprîmes qu’il n’allait pas tarder à jouir et éjaculer.
Je forçais le rythme de la masturbation et Salim celui de son pilonnage du cul de Merouane. Au bout de quelques secondes, je sentis le sexe de Merouane battre plus fort et envoyer une grosse rasade de sperme sur ma main et sur le carrelage. Salim lui éjacula dans le cul de son partenaire en poussant ses petits cris de plaisir que j’aimais tant entendre. N’étaient ces petits cris, il jouissait presque toujours en silence. Il sortit du cul de son ami et vint devant moi, pour que je nettoie son sexe avec ma bouche. Ce que je fis volontiers en le forçant à bander encore une fois. Mais en refusant de le laisser me monter, devant mes deux nouveaux amants.
- Tu me baiseras, quand nous serons seuls. Pour l’instant il faut nous occuper de nos amis.
- Comment ?
- En laissant Chérif enculer Merouane devant nous ! J’ai envie de voir cela ! Dis leurs de le faire !
L’idée plut beaucoup à mon époux qui ordonna à Merouane à rester à quatre pattes et à Cherif de venir lui défoncer le cul une autre fois. Cherif qui était encore fatigué se fit longtemps prier, avant d’accepter la demande de Salim. Merouane par contre piaffait d’impatienc ; il avait encore envie. Quand Cherif se décida, il avait le zob encore tout ramolli.
- Fais-le rebander ! m’ordonna Salim.
Je me mis à genoux devant Cherif, lui pris son sexe dans la main et me mis à le titiller et à le lécher, jusqu’à ce qu’il se mette à grossir dans ma main. Quand je le vis atteindre une certaine taille, je l’introduisis dans ma bouche et me mis à le sucer. Quelques secondes suffirent pour lui faire atteindre sa taille normale d’érection.
Il sortit de lui-même de ma bouche et alla s’occuper du cul de son ami qui piaffait toujours d’impatience. Il le fourra violemment dans le rectum et je le vis qui s’agrippait aux hanches de son ami et qui le tirait comme une brute. C’était Merouane qui appréciait le plus. Il gémissait et bavait. Il disait de choses que seul son amant semblaient comprendre et qui avaient le don d’intensifier les coups de boutoir de Cherif. Ils ne tardèrent pas à jouir tous les deux ensemble. Ils s’affalèrent sur le carrelage et restèrent comme cela, enlacés l’un à l’autre pendant très longtemps. Salim et moi en fîmes de même, mais sur le sofa !
Notre histoire avec nos deux beaux militaires dura le temps de nos vacances. Ils faisaient le mur deux fois par semaine et venaient directement nous rejoindre à la villa. Ils me faisaient d’abord l’amour ensemble, parce que j’avais vraiment pris goût à la double pénétration. Puis nous faisions tout ce que, sur le moment, nous avions envie de faire. Et Cherif, finissait toujours par enculer son ami en dernier, parce que disait-il :
- A la caserne, il nous est difficile de faire l’amour, sans nous faire attr !

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